Alix de Morant
Sabine Chaouche
Alix de Morant est Maître de Conférences HDR en esthétiques chorégraphiques et théâtrales à l’université Paul-Valéry Montpellier 3 et membre du RIRRa 21. Elle est l’auteure avec Sylvie Clidière d’Extérieur Danse (Montpellier, L’Entretemps 2009) et avec Éliane Beaufils de Scènes en partage (Deuxième époque, 2018). Plus récemment, elle a codirigé les ouvrages John Cassavetes, Imaginaire des corps entre la scène et l’écran (Presses Universitaires de Provence, 2021), Narrativity &Intermédiality in Contemporary Theatre (Peter Lang, 2021). Outre son intérêt pour les démarches chorégraphiques in situ et les expériences participatives en espace public, ses recherches portent sur la performance, l’intermédialité, la danse dans sa relation aux autres arts. Codirectrice avec Christian Rizzo du Master exerce (ICI-CCN/UPVM), sa formation artistique en danse et en théâtre la porte tout naturellement vers l’étude de la genèse des processus et la recherche création.
Pourquoi Loïe Fuller?

(1) Loïe Fuller, « Mes débuts sur la scène de la vie », Ma vie et la danse suivi de Écrits sur la danse préface de Giovanni Lista, Paris, L’œil d’or, [1908], 2002 p.26-27.
(2) Cf. Laurent Guido, « Corps, scènes, machines », Chorégraphier le film, Teresa Faucon et Caroline San Martin (dir.), Sesto S. Giovanni, Mimesis, 2019, p.49-69. Cf. également « Entre spectacles paradoxaux et dispositifs techniques : retour sur les danses serpentines du premier cinéma », Filmer l’artiste au travail, Gilles Mouëllic, Laurent Le Forestier (dir.), Presses Universitaires de Rennes, 2013, p.125-148, consulté en ligne le 26 avril 2021, https://doi.org/10.4000/books.pur.74904.
(3) Laurent Guido note que chez de Vere, magasin spécialisé en pyrotechnie et autres matériels scéniques, le chaland pouvait s’équiper d’ « appareils oxhydriques et électriques pour projections, danses serpentines et de feu », le fournisseur faisant aussi de la réclame pour des « gélatines de couleurs » et « verres peints pour danses kaleïdoscopiques ». Publicité parue dans l’Industriel Forain n°596, du 6 au 12 janvier 1901. Laurent Guido, op. cit., p.64.
(4) Jacques Rancière, « La danse de lumière », in Aisthesis, scènes du régime esthétique de l’art, Paris, Galilée, 2011, p.127.
(5) Loïe Fuller, ibid., p.43.
(6) Le romancier Jules Claretie, cité par Loïe Fuller, ibid., p.152.
Bibliographie :
Loïe Fuller, Ma vie et la danse suivi de Écrits sur la danse (1908), préface de Giovanni Lista, Paris, L’œil d’or, 2002.
Giovanni Lista, Loïe Fuller, danseuse de la Belle Epoque, Paris, Hermann, 2007.
Giovanni Lista, Loïe Fuller. Danseuse de l’Art Nouveau, Paris, Réunion des Musées Nationaux, 2002.
Voir également :
Laurent Barré, « Dans le sillage de la danse serpentine », Chorégraphier le Film, Teresa Faucon et Caroline San Martin (dir.), Sesto S. Giovanni, Mimesis, 2019, p.71-87.
Laurent Guido, « Corps, scènes, machines », Chorégraphier le film, p.49-69.
Adrien Sina, « Avant-gardes féminines du début du XXe siècle, dans le champ de la performance et de la danse », Danser sa vie, Catalogue d’exposition, Paris, Musée National d’art moderne, Paris, Centre Pompidou, 2011, p.110-117.
Loïe Fuller, Ma vie et la danse suivi de Écrits sur la danse (1908), préface de Giovanni Lista, Paris, L’œil d’or, 2002.
Giovanni Lista, Loïe Fuller, danseuse de la Belle Epoque, Paris, Hermann, 2007.
Giovanni Lista, Loïe Fuller. Danseuse de l’Art Nouveau, Paris, Réunion des Musées Nationaux, 2002.
Voir également :
Laurent Barré, « Dans le sillage de la danse serpentine », Chorégraphier le Film, Teresa Faucon et Caroline San Martin (dir.), Sesto S. Giovanni, Mimesis, 2019, p.71-87.
Laurent Guido, « Corps, scènes, machines », Chorégraphier le film, p.49-69.
Adrien Sina, « Avant-gardes féminines du début du XXe siècle, dans le champ de la performance et de la danse », Danser sa vie, Catalogue d’exposition, Paris, Musée National d’art moderne, Paris, Centre Pompidou, 2011, p.110-117.